Après un rapide tour d’horizon que vous pouviez admirer là*… voici un billet toujours sur le même thème avec cette fois l'ambition d'approfondir un peu plus cette semaine de la mode parisienne. Comment ça j’ai quelques encablures de retard ? Comment ça c’est déjà "has been" d’approfondir seulement maintenant ce qui c’est passé sur la FW de Paris ? Je dois bien vous avouer que : je m’en fous!... rapport que j’ai aimé me perdre dans ces nouvelles collections, me perdre dans la multiplicité des univers déclinés… Raisons suffisantes et nécessaires pour cultiver les décalages et caprices éditoriaux. Et sache que je vais pousser encore le décalage et cultiver l’art des caprices car un troisième et dernier billet dédié sera à venir très prochainement.. Faut pas forcer la confidence t'sais. Elle vient quand elle peut : jamais trop tôt, jamais trop tard. Hoooo pas la peine de faire ce regard de merle en frit pouet pouet tout ça parce que je viens de vous dévoiler le poteau rose re pouet pouet…
Trève de calembours, je peux t’assurer que je ne digresse pas autant qu’il y paraît parce que justement : je trouve les caprices de la mode étonnants… d'un podium à l'autre, entre haute-couture et prêt-à-porter, avec plus de 100 défilés à Paris (contre 60 à Londres ou encore 78 à Milan) forcée de constater re re pouet pouet que notre capitale donne le "LA" dans le concerto interplanétaire de la couture. Il se dit même dans les milieux autorisés (ou non) qu’une invitation à défiler sur les podiums parisiens a valeur de consécration !
Pourquoi parler encore et toujours de cette folle semaine ? Pour saluer l’inspiration de Marco Zanini pour Rochas (de la soie, un melting pot de couleurs, d’imprimés et d’uni cotoyant les formes loose…), l’exubérance de John Galliano (ses multiples variations en matière de make-up et de coiffures, de superpositions de coloris et de matière…), les "poupées de Tokyo" de Junya watanabe (déclinant le motif marin en long en large et en travers…), le génie de Zac Posen (quand la veste en tweed côtoie la flamboyance de la soie rouge des robes de soirée), la constance et subtilité de Rykiel ( des influences tantôt japonisantes tantôt rétros…), l’audace de Gaultier (toujours XXL and so rock’n’roll)…
N’oublier pas : vous pouvez encore et toujours voter en cliquant sur le petit macaron ci-dessous.
Après, on fait comme on a dit, vous me faites suivre vos coordonnées bancaires par email pour le virement...